Revue de presse, Voix du Nord du 19 janvier 2020

19 janvier 2020

Revue de presse, Voix du Nord du 19 janvier 2020

A moins de deux mois du premier tour des élections municipales, la Voix du Nord m'a interrogé sur plusieurs points :

- Le programme : "Je ne promets pas monts et merveilles. Notre programme se base sur nos réflexions, nos travaux et les attentes des léclusiennes et léclusiens. Il sera présenté à la mi-février".

- Fiscalité : "Je n'augmenterai pas les impôts."

- Financement du programme : "Il se base sur le budget de la commune que j'étudie et analyse depuis 6 ans. S'ajouteront à ça des économies de fonctionnement que nous réinvestirons et des subventions que j'irai chercher avec les dents s'il faut".

- Quels économies ? : "Quelques exemples : Gère t-on sa commune en bon père de famille, comme je souhaite le faire, en posant du faux parquet dans la mairie alors que le parquet en chêne a été vitrifié trois ans plus tôt ? Est-il normal qu'il y ait encore du chauffage dans les vestiaires du foot un 14 juillet, en pleine canicule ? Est-ce utile d'acheter des colis de Noël aux aînés qui ont signifié qu'ils n'en voulaient pas ? D'ailleurs, où finissent-ils ? Achetons seulement pour les aînés qui le souhaitent !"

- Mon engagement politique : "Les partis politiques n'ont pas à s'initier dans la vie des communes. Mes colistiers m'ont rejoint pour mes idées et ma personne : je suis un enfant du village".

- Ma rupture avec Nicole Descamps : "C'est elle qui est venue me chercher en 2014. Elle m'a dit <<Si tu te présentes, Isabelle Lepoivre va repasser >>. << Dans six ans, place aux jeunes ! >>. Au début, on a bossé main dans la main. Au bout de trois ans, des divergences de fond et de forme se sont fait jour. Un maire c'est 7 jours sur 7, 365 jours par an !"

- Projet brasserie : "C'est le serpent de mer de la commune. Ca fait une quinzaine d'années qu'on parle de refaire quelque chose là-bas. Si on avait travaillé avec Nicole Descamps sur ce dossier-là, on n'en serait peut-être pas là, au point mort. Six ans de perdus ! Si nous sommes élus en Mars prochain, je contacterais EPF (Etablissement Public Foncier) propriétaire de ses 12.000 m3 pour prolonger la convention qui la lie à la commune pour laisser encore du temps à la réflexion".

- Sur un potentiel éparpillement des voix à cause des 3 listes probables : "La situation ressemble fortement à 1983. A l'époque, il y avait trois listes. Celle du maire sortant, celle du PCF et une liste de jeunes, celle de Marc Cambray. C'est elle qui est passée !"